"...On n'entend donc pas fusionner les organes politiques et les organes de décision", a exprimé le ministre Paul FURLAN.
Le Ministre-Président Paul MAGNETTE d'ajouter : " ...Plutôt que de parler de fusion, il conviendrait donc d'évoquer une volonté de structurer les synergies efficientes".
Lien vers l'article de RTBF.be : http://www.rtbf.be/info/belgique/detail_magnette-et-furlan-ne-parlent-plus-de-fusion-commune-cpas?id=8963698
Bienvenue sur mon blog !
Au quotidien, je vous ferai part de mes réactions, de mes actualités, de mes photos, ...
A force de trop parler de crise, d'équilibre budgétaire et d'économies, on risque d'oublier les valeurs qui sous-tendent, tant nos ayants droits, que nos travailleurs ou nos décideurs politiques. Bref ne met-on pas en péril tout notre modèle de société? Mais c'est peut-être le but de certains.
vendredi 24 avril 2015
jeudi 23 avril 2015
mardi 21 avril 2015
Conférence de presse de ce mardi 24 avril : les médias relaient l'appel des CPAS wallons pour dénoncer les fins de droit aux allocations d'insertion pour 12.800 wallons
"Depuis 2008, l'augmentation du nombre de RIS a été de 28% pour les CPAS et sur la même période, les dépenses de personnel de ces mêmes CPAS wallons ont diminué de 11%. Comment mener un accompagnement de qualité dans ce cas?"
Ricardo CHERENTI, Expert et conseiller de la Fédération des CPAS de Wallonie
Le Soir : http://www.lesoir.be/856495/article/actualite/belgique/2015-04-21/perte-des-allocations-d-insertion-pas-tsunami-mais-pire-est-venir
JT 13h RTBF : https://www.rtbf.be/video/detail_jt-13h?id=2009765 (Le sujet démarre à l’indice 16’00’’ et dure 2’20’’ environ)
RTL Info : http://www.rtl.be/info/belgique/politique/6-000-dossiers-en-deux-mois-dans-les-cpas-wallons-et-un-chiffre-noir-important-717535.aspx
Ricardo CHERENTI, Expert et conseiller de la Fédération des CPAS de Wallonie
Le Soir : http://www.lesoir.be/856495/article/actualite/belgique/2015-04-21/perte-des-allocations-d-insertion-pas-tsunami-mais-pire-est-venir
JT 13h RTBF : https://www.rtbf.be/video/detail_jt-13h?id=2009765 (Le sujet démarre à l’indice 16’00’’ et dure 2’20’’ environ)
lundi 20 avril 2015
Projet de fusion des CPAS et des communes : appel à soutien
Notre appel au soutien du plus grand nombre a bien été relayé.
L'Avenir : http://www.lavenir.net/cnt/DMF20150413_00632718
La Libre : http://www.lalibre.be/actu/belgique/la-fusion-communescpas-divise-553124203570fde9b2bfafb9
Poursuivons nos efforts : http://www.uvcw.be/newsletter/cpas/1504.htm
Claude
L'Avenir : http://www.lavenir.net/cnt/DMF20150413_00632718
La Libre : http://www.lalibre.be/actu/belgique/la-fusion-communescpas-divise-553124203570fde9b2bfafb9
Poursuivons nos efforts : http://www.uvcw.be/newsletter/cpas/1504.htm
Claude
lundi 13 avril 2015
Michel Colson (FDF): «Veut-on faire exploser la bombe sociale?» - LeSoir.be, 30/3/15
http://www.lesoir.be/836857/article/actualite/regions/bruxelles/2015-03-30/michel-colson-veut-on-faire-exploser-bombe-sociale
Un extrait :"Électoralement, ce n’est pas rentable de miser sur les CPAS. Faisons des économies d’échelle, mais globalement, et les études le montrent, les CPAS sont mieux gérés que les communes."
Un extrait :"Électoralement, ce n’est pas rentable de miser sur les CPAS. Faisons des économies d’échelle, mais globalement, et les études le montrent, les CPAS sont mieux gérés que les communes."
mercredi 1 avril 2015
Le Plan Hivernal, l’arbre qui cache la forêt ?
CARTE BLANCHE
ERIC MASSIN, Président du CPAS de Charleroi
CLAUDE EMONTS, Président du CPAS de Liège
Philippe DEFEYT, Président du CPAS de Namur
Depuis
2013, la Wallonie a pérennisé les plans hivernaux (de novembre à
mars) et a permis de garantir la récurrence des moyens octroyés aux
acteurs pour faire face aux demandes complémentaires en matière de
sans-abris.
Le
31 mars a donc marqué la fin légale de la période de grand
froid, ce que l’opinion publique retiendra de la
période 2014-2015, c’est certainement le drame humain,
survenu à Namur, avec la mort tragique d’un sans-abri.
En
tant que Présidents du CPAS des trois plus grandes villes wallonnes,
nous ne pouvons que déplorer que de tels drames se produisent encore
en 2015, mais nous déplorons, encore plus, que les politiques
actuelles n’offrent pas assez de réponses structurelles et
durables au problème du sans-abrisme.
Actuellement,
les CPAS et les Relais sociaux font le maximum de ce qu’ils peuvent
pour gérer au jour le jour les nombreuses demandes d’aides, hiver
comme été.
Créer
toujours plus de places en abri de nuit peut apparaître, pour
l’opinion publique, comme une manière de se donner bonne
conscience, en mettant simplement à l’abri un maximum de « SDF »
pendant la période de grand froid…Et après ???
Il
faut transcender la discussion sur les quotas, les nuitées et le
fonctionnement des abris de nuit et inscrire, au niveau fédéral et
wallon, la politique du sans-abrisme dans un cadre plus global de
lutte contre la pauvreté et l’exclusion sociale. Et ce, d'autant
plus que l'immense majorité des SDF (personnes sans domicile fixe)
ne sont pas des sans-abris mais sont dans une situation telle qu'ils
vivent d'expédients (un jour chez l'un, un jour chez l'autre) sans
avoir les moyens d'un vrai chez-soi. A côté de la politique de
« l’urgence sociale » et du diktat de la température,
le temps est donc venu de consacrer suffisamment de moyens financiers
publics à de véritables politiques de « remise en logement
durable » avec un accompagnement individualisé et adapté à
chaque situation. A commencer par des politiques de lutte contre la
perte du logement (notamment suite à une expulsion).
Le
projet Housing First qui vise à maintenir, la
personne fragilisée, dans un logement grâce à un accompagnement
professionnel, intensif et pluridisciplinaire, est un des exemples
les plus significatifs. Il est à généraliser dans d'autres lieux.
Mais ce n’est pas le seul… D’autres leviers existent déjà en
matière de politique du logement : le bail glissant, les
« capteurs » logement, le lissage des loyers, un fonds
des garanties locatives. Malheureusement, ils sont peu ou pas
activés. D’autres décisions peuvent être prises : création
activation du Droit au logement (DAL), lancer un projet identique à
l’expérience namuroise de pension de famille...
Une
approche globale du sans-abrisme et des SDF au sens large du terme,
favorisant la réinsertion sociale par le logement, dans la durée
grâce à des politiques d'accompagnement, est donc primordiale et
urgente. Nous le savons, une personne peut se retrouver sans domicile
pour de multiples raisons : perte de logement, perte de revenu,
divorce, problème de santé mentale… Cependant, la politique du
risque zéro n’existe pas.
Il
convient donc de s’attaquer à toutes ces causes pour augmenter les
chances des personnes de retrouver le chemin de la dignité. Pour y
parvenir, il est indispensable de créer les ponts entre les
politiques ponctuelles et structurelles et surtout intensifier ces
dernières. C’est ce difficile travail d’équilibriste que
doivent mener les pouvoirs publics afin que plus jamais la rue
n’enlève la vie.
Demain,
la priorité et un maximum de moyens disponibles doivent donc passer
d’un « LIT POUR TOUS » à un « LOGEMENT POUR
TOUS ».
En outre, le territoire de la pauvreté ne correspondant pas à celui d'une seule
commune, et ce quelle que soit sa taille, il est impératif que la politique de
lutte contre la grande exclusion - et donc celle du PGF - soit élargie aux
commune de chaque périphérie des grandes villes
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